De nos jours, les musées évoluent rapidement et certains éléments sont devenus essentiels à la visite pour des publics de plus en plus habitués à des muséographies qui les mettent à l'aise et les accompagnent dans leur parcours. Afin d'accompagner le visiteur dans sa découverte, les éléments pédagogiques se multiplient, l'incontournable restant toujours la maquette muséale. Cette-dernière n'est pourtant pas figée dans le temps ! Elle suit elle aussi l'évolution des besoins du public et les apports des nouvelles technologies sont nombreux afin de moderniser la présentation classique maquette/texte. La présentation peut aussi être complétée avec des répliques fidèles d’œuvres, pouvant être manipulées, créées par numérisation puis impression 3D. Si le fac-similé et la maquette ont donc toujours les faveurs des visiteurs, leur forme évolue et l'arrivée des nouvelles technologies permet de faire découvrir l'Histoire de manière innovante et didactique.

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Une voie romaine en construction et un hypocauste... Ce sont ces deux maquettes qui ont accompagné le lancement d'Agathé Temporis en juillet 2011. Très présentes dans les opérations de médiation de l'entreprise, les maquettes sont de précieuses alliées pour une présentation immersive. Elles ont toujours été développées, fabriquées et utilisées en interne, ce qui assure la cohérence de leur réalisation et leur efficacité en tant qu'outils muséographique et pédagogique. Il en va de même pour les fac-similés ainsi que pour les plans et vues, préférentiellement réalisés sur papyrus, parchemin ou toile de lin pour favoriser immersion. Tout cela peut  être complété par du mobilier s'intégrant à une muséographie préexistante ou à un projet de réfection.

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Depuis 2018, l'impression 3D est venue compléter les dispositifs de fabrication des maquettes et fac-similées. Ainsi, ceux-ci sont toujours plus précis et ressemblent trait pour trait à leur modèles. L'impression 3D peut également donner une certaine flexibilité aux modèles. Par exemple, si cela est prévu en amont, la maquette reconstituant un site pourrait évoluer au fur et à mesure de l'avancée de la recherche à son sujet, prévoyant de pouvoir démonter et remplacer les éléments correspondants aux hypothèses de restitutions les moins fiables.Ainsi, la maquette devient autant le reflet du site que celui du travail de recherche des archéologues, dévoilant quelque peu les coulisses de l'archéologie, l'histoire et la muséographie.

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Tout récemment, le scan 3D s’est immiscé dans les activités d'Agathé Temporis. Jusque-là, la numérisation dans le laboratoire numérique de l'entreprise se faisait par photogrammétrie. Ce procédé est maintenant complété par un scanner 3D qui permet des relevés précis des œuvres. Il est désormais plus simple de réaliser des fac-similés d'une grande qualité. Pourquoi copier des œuvres et les installer non loin des originales ? Cela présente tout d'abord, et évidemment, la possibilité de faire découvrir les collections aux publics mal-voyants et non-voyants. Le fac-similé est une interface importante pour l'accessibilité des personnes en situation de handicap au musée. Au-delà de cet aspect essentiel, l'Humain est un être tactile, il aime toucher les objets qui lui sont présentés (A ce propos, je réalise aussi des pancartes de toutes tailles "Prière de ne pas toucher les œuvres"...). La mise à disposition d'un fac-similé permet aux visiteurs de découvrir une œuvre différemment, d'appréhender ses formes, et de retenir plus facilement des information à son sujet.

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Quel que soit votre projet muséographique, il y a certainement la solution dans l'atelier de fabrication et le laboratoire numérique d'Agathé Temporis ! N'hésitez pas à me contacter et me décrire votre projet pour étudier les diverses possibilités de réalisation.